Un c*** est un c***

   Je l'admets, pas très classe comme intitulé, mais c'est une expression de ma maman que j'aime me remémorer quand j'ai croisé trop des gens qui m'ont pompés mon énergie dans la journée. Comme Monsieur Brangeon cet après-midi. On a tous un Monsieur Brangeon au travail. Mais si, mais si!!.. 


Bonnes Pâques!

    Aujourd'hui, beaucoup d'entre nous vont abuser du chocolat. Ça m'a fait penser à une phrase que j'ai lu dans le livre Comment entrer dans son bikini quand on a mangé du chocolat tout l'hiver de Marie Belouze-Storm et que j'ai collé sur mon réfrigérateur:

"Maigrir et rester mince, ce n'est pas faire le deuil de la gourmandise, c'est élargir la gourmandise à autre chose que manger".
A cogiter...




J'arrête le gel douche

   Je vous vois venir:"trop dégeu Elo!!" Non, non, je n'ai pas dit que j'arrêtais de me laver! Je me suis juste intéressée à la composition de ce flacon très prisé lors de notre toilette quotidienne car ma peau est fragilisée par mon traitement. Et je voulais limiter la casse, pour mon eczéma notamment. Et là... c'est le drame! En fait, ce que je croyais bon pour ma peau niveau hygiène et soin est un détergent émanant de la pétrochimie.

Serez-vous toujours certain(e) de prendre un soda à votre pause déjeuner demain?!


Photo : 1 paquet de chips/jour = 5 litres d'huile/an ! Ce qu'on préférerait ne pas savoir sur notre alimentation : http://bit.ly/1kvcfld

   Pour répondre à cette question, vous pouvez lire cet article très intéressant de Marmiton (âmes sensibles s'abstenir!):



   Ça calme hein?! Je comprends mieux pourquoi je trouvais que l’andouillette sentait la mauvaise haleine;)

Le kaizen

   Je ne sais pas pour vous, mais moi, je suis toujours pleine de bonnes intentions lorsque je me fixe des objectifs et en général, je ne lésine pas sur les moyens à mettre en œuvre pour les atteindre.

Le bonheur est un état d'esprit

  Ça y est, je me lance!!

   Voilà plusieurs années de réflexions permanentes sur ma vie, mes choix, mes craintes, mes délires durant lesquelles j'ai affronté pas mal de galères en tous genres dont le diagnostic de ma maladie, la spondylarthrite ankylosante. Puis, dernièrement, l'élément déclencheur de mon envie de changement de vie radicale: ma dé-mi-ssion. Eh oui, malgré ce "contexte économique catastrophique"dixit les pessimistes, j'ai eu envie de me prouver que oui, fidèle à mon côté optimiste (ou fofolle peut-être), je pouvais prendre des décisions risquées et  décider que mes peurs allaient désormais me stimuler plutôt que de me freiner à agir.

Source: Santé + Magazine